Le Conseil exécutif du World Rugby s’est ouvert, lundi 13 novembre, à Londres et devra voter, mercredi, pour désigner le pays organisateur de la Coupe du monde 2023. L’Afrique du Sud est favorite.

Ces dernières années, le rugby est en train de se faire une belle place sous le soleil africain, coupant l'herbe sous les pieds des amoureux du ballon rond. En effet, l’année dernière, le nombre des rugbymen licenciés a bondi de 770.000 à plus d’un million. En 2013, l’initiative « Get Into Rugby » de World Rugby a attiré près de 22.000 joueurs. En 2017, ils étaient exactement 384.000.

Quant au nombre de joueuses de rugby, il a bondi de 50% entre 2016 et 2017. Cette année, 20% des fanas de ce sport, en Afrique, sont des femmes et des jeunes filles.

Décidément, ces chiffres sont le reflet de la passion et de l’engouement des Africains qui ne jurent que par le rugby et songent à en faire (ou en font déjà) leur métier. Côté ranking, Madagascar est la parfaite illustration de cette passion, car le rugby y est le sport national par excellence et il y a plus de clubs par habitant qu’aucun autre pays au monde. À titre d'exemple, la capitale Antananarivo a droit à 160 clubs de rugby. Leur équipe nationale, composée de joueurs amateurs, arrive, à chaque match, à remplir le Stade Municipal de Mahamasina de supporters passionnés.

En Afrique, 22.000 écoles offrent désormais le rugby dans leur programme d’étude. Il y a un an de cela, elles étaient 20.000.

L’Afrique est en train de devenir le premier vivier de fans potentiels au monde avec 60% de la population âgée de moins de 24 ans, une proportion qui devrait encore s’accroître.

Ces dernières années, le rugby est en train de se faire une belle place sous le soleil africain coupant l'herbe sous les pieds des amoureux du ballon rond. En effet, l’année dernière, le nombre des rugby men licenciés a bondi de 770.000 à plus d’un million. En 2013, l’initiative “Get Into Rugby” de World Rugby a attiré près de 22.000 joueurs. En 2017 ils étaient exactement 384.000.

Quant au nombre de joueuses de rugby, il a bondi de 50% entre 2016 et 2017. Cette année, 20% des fanas de ce sport, en Afrique, sont des femmes et des jeunes filles.

Décidément, ces chiffres sont le reflet de la passion et de l’engouement des Africains qui ne jurent que par le rugby et songent à en faire (ou en font déjà) leur métier. En d'autres termes, Madagascar est la parfaite illustration de cette passion, car le rugby y est le sport national par excellence et il y a plus de clubs par habitant qu’aucun autre pays au monde. À titre d'exemple, la capitale Antananarivo a droit à 160 clubs de rugby. Leur équipe nationale, composée de joueurs amateurs, arrive, à chaque match, à remplir le Stade Municipal de Mahamasina de supporters passionnés.

En Afrique, 22.000 écoles offrent désormais le rugby dans leur programme d’étude. Il y a un an de cela, elles étaient 20.000.

L’Afrique est en train de devenir le premier vivier de fans potentiels au monde avec 60% de la population âgée de moins de 24 ans, une proportion qui devrait encore s’accroître.

 

Cet enthousiasme est partagé par le président de Rugby Africa, Abdelaziz Bougia : « Nous sommes ravis d’avoir pour partenaire officiel le groupe APO. Il était important pour nous de faire équipe avec cet interlocuteur idéal, une compagnie qui partage les valeurs d’intégrité, de respect, de tolérance, de discipline et la passion habituellement associée au rugby.

Ce partenariat incarne l’avenir du rugby africain, un avenir qui s’appuie  sur un grand vivier de jeunes joueurs qui ne jurent que par ce sport en plein boom.

Cette initiative qui s’inscrit dans un paysage économique et démographique idéal annonce à qui veut l’entendre qu’il faudra sans doute aucun et pour longtemps compter avec le rugby africain.