Au Nigeria, le gouvernement a annoncé hier mardi que la croissance en 2016 était de 1,5%, un des plus faibles taux de la 2e puissance économique d'Afrique.

La chute des prix des matières premières et la dépréciation de la monnaie locale par rapport au dollar ont fortement affecté l'économie nigériane poussant le gouvernement du Président Buhari à diversifier ses sources de devises pour sortir de la récession.

Ainsi, le Nigeria qui reprend de la vitesse avec la plus forte production de pétrole en février se tourne aussi vers l'agriculture avec d'ailleurs de gros accords signés avec le Maroc.