La Banque Mondiale revoit légèrement à la baisse la croissance de l'économie kényane qui devrait se stabiliser à 5,5% à la fin de l'année. Ce recul de la performance kényane s'explique par la sécheresse qui plombe l'agriculture, mais aussi par la crise du secteur bancaire.

A coté de cette grise mine de l'économie nationale le gouvernement investit massivement, dans les infrastructures avec notamment le projet du corridor ferroviaire, de 3.200 km dans la corne de l’Afrique.