Une quarantaine de sociétés européennes sont menacées de suspension de leurs activités en Libye.

En effet, selon un décret signé par le ministre libyen de l’Économie et de l’Industrie, Ali Issaoui, et filtré jeudi dans la presse, ces sociétés, en majorité françaises et allemandes, n’auraient pas renouvelé leurs autorisations pour exercer en Libye. Une période de grâce de trois mois leur ainsi a été accordée pour prendre les mesures nécessaires pour régulariser leurs situations aux yeux de la loi libyenne. Parmi ces sociétés, figurent des géants comme Total, Siemens ou Alcatel-Lucent.