Selon le test prévisionnel de conjoncture dans la zone CEMAC au 2ème trimestre 2021, publié par la Banque des États de l’Afrique centrale (Beac), la situation sécuritaire, la rareté de certains intrants et produits phytosanitaires et la dégradation des pâturages devraient entraver l’activité des éleveurs.

Au Cameroun, les principaux problèmes que connaît la filière, à savoir les conflits pastoraux, le rétrécissement et la dégradation des pâturages, le coût élevé des produits vétérinaires, l’insuffisance de la production des poussins d’un jour dans la région de l’Ouest, l’impact négatif de la grippe aviaire sur l’activité et le coût élevé des intrants, continuent de peser sur l’activité au 2e trimestre 2021, rapporte la presse locale.