La célèbre chaîne d’information en continu i24News a montré les Filali sous le vrai visage à travers ce décryptage (voir vidéo), celui d’antisémites et de pro-terroristes décomplexés. Pourtant, c’est sur ce couple que misent certains milieux du pouvoir et ses satellites pour tenter de nuire au Maroc. Ces pyromanes mesurent-ils l’étendue des conséquences de leur acte sur les relations franco-marocaines ?

https://youtu.be/bpS2mea03_M

Constatant que «l’affaire Pegasus» n’a été en fin de compte qu’un coup d’épée dans l’eau, des ennemis du Maroc dans les arcanes du pouvoir en France tentent ces jours-ci de changer de stratégie. Ils viennent d’actionner un couple de « marionnettes numériques » qui se sont improvisées opposants politiques et essaient d’obtenir l’asile en France pour les nombreux avantages que ce statut offre à celui qui en bénéficie.

Certains médias sont tombés dans le piège en essayant de «vedettariser» de parfaits inconnus dans le militantisme politique et qui ont déjà défrayé la chronique par des faits d’escroquerie.

Et comme d’habitude, les donneurs d’ordre tentent de se cacher derrière le principe de la liberté d’expression. Sauf que les fils sont, là encore, trop visibles. Tellement visibles qu’ils se voient depuis Rabat.

Dans leur acharnement, les promoteurs de cette stratégie semblent ne pas mesurer la gravité des conséquences de leurs actes. Ils semblent méconnaitre aussi le Maroc, son histoire, la force de ses institutions, sa stature régionale et internationale et l’attachement des Marocains à leur pays même pour les plus critiques parmi eux.

Ils ne semblent pas non plus savoir que le Royaume n’a jamais cédé et ne cèdera jamais aux chantages. Et à moins qu’ils soient peu soucieux des intérêts de leur pays, ces acteurs ne peuvent pas ignorer que toutes les entreprises françaises du CAC 40 sont présentes sur le sol marocain sont les dividendes renflouent le trésor français, que la France est le deuxième partenaire commercial du Maroc, que de nombreux partenariats franco-marocains placent les relations bilatérales dans une perspective d’avenir, etc.

Les récentes manœuvres pourraient-elles compromettre tous ces acquis de «l’ami historique» du Maroc ? Autre question qui s’impose : pour qui roulent ces acteurs et dans quel intérêt ?

En attendant les réponses, d’ores et déjà de vrais influenceurs s’activent sur la toile pour répondre énergiquement aux récentes actions anti-marocaines. On peut évoquer les longues «Confessions dominicales» publiées, ce dimanche 9 janvier sur Facebook par le très influent éditorialiste Abu Wael Al-Rifi sur les récentes «malsaines manœuvres anti-marocaines» . Massivement lu, ce chroniqueur a mis à nu Dounia et Adnan Filali que la France semble ériger en illustres hôtes. «Ce couple n’est rien d’autre qu’un cadavre numérique qui loue ses services de prétendus activistes aux plus offrants», écrit-il.

Abu Wael s’étonne de voir la France, qui reçoit des milliers de demandes d’asile chaque année, semble avoir donné des garanties aux Filali avant de les accueillir sur son territoire. L’auteur prévient les services français concernés qu’ils vont bientôt crouler sous les requêtes que vont présenter d’autres demandeurs d’asile en aspirant à bénéficier du même traitement de faveur que le couple ayant été accueilli avec grande bienveillance, sans oublier la pluie de nouvelles demandes d’asiles qui pourrait s’abattre sur l’Hexagone dès les prochaines semaines.

Bien informé, Abu Wael Al-Rifi prévient le Quai d’Orsay que le Maroc saura répondre avec force, comme il l’avait déjà fait par le passé, à « ces quelques bureaucrates» français qui jouent avec le feu.

 

Le chroniqueur souligne que le Royaume a su à chaque fois remettre à leur place les nostalgiques du colonialisme. Le Maroc, poursuit-il, continue à multiplier ses partenariats à travers le monde dans un esprit d’égal à égal et ne cèdera jamais aux maîtres chanteurs. «Les marchandeurs du YouTube et leurs bailleurs de fonds ne pourront rien y changer», conclut-il.