La Rapporteuse spéciale sur la situation des défenseurs et défenseuses des droits humains, Mary Lawlo, s’est enfin rendu compte qu’elle se faisait leurrer par les pleurnicheries trompeuses de la fausse militante-victime et vraie mercenaire armée : Sultana Khaya.

Certains(es) séparatistes, comme Sultana Khaya, croyaient, à tort, qu’ils/elles pouvaient continuer indéfiniment à tromper les institutions et organisations internationales de défense des droits de l’Homme en faisant couler abondamment leurs larmes de crocodile. Or, cette gifle que vient de leur administrer la Rapporteuse spéciale sur la situation des défenseurs et défenseuses des droits humains montre que leurs mensonges sont de courte portée.

L'Irlandaise Mary Lawlo a officiellement décidé de retirer la séparatiste Sultana Khaya de son mandat aussitôt après avoir officiellement authentifié des photographies de cette séparatiste brandissant une arme.

D’ailleurs, par comble d’arrogance, Sultana Khaya n’a jamais caché son adhésion aux visées guerrières du polisario.

En se rendant compte que Khaya est une fausse militante-victime et une vraie mercenaire armée, la responsable onusienne a vite supprimé le tweet qu'elle lui avait consacré à l’occasion du 8 mars, journée internationale des droits des femmes.

Pour rappel, des investigateurs médiatiques ont déjà révélé que Sultana Khaya fait de son pseudo-militantisme un juteux fonds de commerce. Sinon, comment pourrait-elle avoir les moyens de se payer le luxueux appartement dont elle est propriétaire dans un quartier huppé d’Alicante, ville portuaire de la Costa Blanca au sud-est de l’Espagne. Propriété qui n’a d’ailleurs jamais été déclarée, ce qui constitue une fuite illégale de devises.

Tout récemment Sultana Khaya a encore fait parlé d’elle à Boujdour où elle réside. Elle a refusé de recevoir une délégation du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH), venue l'écouter suite à des allégations, véhiculée par vidéo à travers les réseaux sociaux, selon lesquelles elle serait victime de violations des droits de l'Homme. Sachant qu’elle n’a aucune preuve à présente, elle a donc gardé sa porte fermée face à la délégation du CNDH. Sauf qu’elle ne lui sert plus à rien de se cache, la responsable onusienne Mary Lawlo vient de la montrer sous son vraie visage.