Le conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement, a approuvé une facilité de 1,5 milliard de dollars pour aider les pays africains à éviter une crise alimentaire imminente.
Cette facilité a été conçue pour bénéficier à quelque 20 millions de petits exploitants agricoles africains, qui recevront des semences certifiées et une technologie pour produire environ 38 millions de tonnes de nourriture.
«Cet investissement augmentera l’accès aux engrais agricoles et leur permettra de produire rapidement 38 millions de tonnes de nourriture. Il s’agit d’une augmentation de 12 milliards de dollars de la production alimentaire en seulement deux ans», a déclaré l’institution.
Il s’agira également de créer une plate-forme pour plaider en faveur de réformes politiques essentielles afin de résoudre les problèmes structurels qui empêchent les agriculteurs de recevoir des intrants modernes. Cela comprend le renforcement des institutions nationales qui supervisent les marchés des intrants.
Au 23 mai, le continent africain recense 11.580.073 cas confirmés, 10.899.483 guérisons et 252.829 décès, indique le Centre africain de contrôle et de prévention des maladies.
Afrique du Sud, 3.926.652 cas positifs ; Maroc (1.166.628 cas) ; Tunisie (1.041.789 cas) ; Égypte (515.645 cas), Libye (501.954 cas) ; Éthiopie (471.343 cas) ; Kenya (324.222 cas), Zambie (321.099 cas).
Annoncé sur le départ à Liverpool, Sadio Mané devrait peut-être connaître un nouveau challenge du côté du Paris Saint Germain.
L’hypothèse n’est pas à exclure, puisque le nom de l’attaquant sénégalais est de plus en plus associé au club francilien, après celui de son coéquipier Mohamed Salah, informe africatopsports.
D’après le journal allemand Bild, le PSG serait bien positionné pour accueillir le champion d’Afrique en cas de départ de Liverpool.
Auteur de 49 matchs et 22 buts toutes compétitions cette saison avec les Reds, Sadio Mané est sous contrat jusqu’en juin 2023.
Le Conseil National de l’Ordre des Pharmaciens (CNOPT) a tenu à préciser qu’aucune augmentation des prix de médicaments n’est programmée, en réponse aux rumeurs qui ne cessent de se propager.
«Aucune augmentation des prix de médicaments n’est programmée », à, Ali Bsila, président du CNOPT, cité par la presse locale.
Bsila confirme par ailleurs que plusieurs médicaments, notamment ceux indispensables pour certaines maladies chroniques sont introuvables dans les pharmacies et dans les officines des hôpitaux.
Le 7ème Forum international sur la finance islamique de l’Afrique de l’Ouest se tiendra du 20 au 21 juin prochain à Dakar.
Sous le thème principal est axé sur : « Le financement des grands projets d’infrastructures des pays de l’Afrique de l’Ouest », une vingtaine de pays de la sous-région, des pays du Golfe et beaucoup d’experts venant des pays occidentaux et du monde islamique prendront part à cet événement.
Plusieurs domaines seront explorés lors de ce forum et parmi lesquels le secteur énergie-pétrole et gaz, l’eau et l’assainissement et les transports aériens et routiers.
Le gouvernement gabonais a en projet de construire un port sec à Ndendé dans la province Ngounié.
Le port sec de Ndendé aura pour objectif de contrôler les marchandises en provenance du Congo. Il aura pour but aussi de contribuer au désenclavement de la province de la Ngounié ainsi qu’à la réduction de la durée et des coûts de transport sur le corridor Libreville-Brazzaville.
Le gouvernement recherche d’ailleurs, un consultant chargé de réaliser « des études d’avant-projet sommaire (APS) et d’avant-détaillé (APD) avec élaboration des dossiers d’appel d’offres des travaux et de surveillance des travaux de la construction » dudit port, apprend-on dans un avis à manifestation d’intérêt récemment lancé par le ministère des Travaux publics.
Les consultants intéressés ont jusqu’au 3 juin 2022 pour postuler, rapporte le nouveau Gabon.
Le gouvernement burkinabè a adopté un plan de riposte et d’assistance alimentaire d’un coût global de 237 milliards de FCFA.
Ce nouveau plan sera financé par l’Etat burkinabè, les partenaires techniques et financiers et les collectivités, a annoncé le porte-parole du gouvernement Lionel Bilgo
Ce plan de riposte et d’assistance alimentaire est une réponse urgente à la crise alimentaire et à la malnutrition.
Les bénéficiaires sont entre autres, les personnes vulnérables, des personnes déplacées internes et des ménages hôtes.
Ce plan apporte aussi des soutiens à la production agricole et animale et à la prévention et la prise en charge des enfants de moins de cinq ans malnutries ainsi que les femmes enceintes et allaitantes malnutries.
Le gouvernement mauritanien prévoit de lancer très prochainement un second câble sous-marin pour renforcer la connexion Internet dans le pays.
L’annonce a été faite par Cheikh El Kébir ould Moulaye Taher, ministre mauritanien de la Transformation numérique, de l’Innovation et de la Modernisation de l’administration.
Cette nouvelle infrastructure, viendra renforcer le câble African Coast to Europe (ACE) auquel le pays s’est connecté en 2011 et dont il dépend pour ses services Internet à haut débit.
Des pannes qui surviennent fréquemment sur cette infrastructure provoquent une perturbation des services Internet dans le pays, informe l’agence ecofin.
Cette initiative s’aligne avec la volonté du gouvernement de pallier les dysfonctionnements du premier câble et de garantir aux populations une connectivité Internet à haut débit fiable, dans un contexte marqué par l’accélération de la transformation numérique à travers le continent.
Le Rwanda va injecter 244 millions de dollars de plus dans son fonds de relance post-pandémie.
Objectif de cette enveloppe : soutenir les entreprises impactées par la crise sanitaire.
« Nous entrons aujourd’hui dans la seconde phase de notre Fonds de relance économique avec l’addition de 250 milliards de francs rwandais (environ 244 millions de dollars) pour continuer de soutenir les entreprises sévèrement affectées par la pandémie », a déclaré dans ce sens à Kigali le Premier ministre Edouard Ngirente.
Selon lui, l’accélération de la croissance au Rwanda est le résultat des stratégies mises en place par le gouvernement pour lutter contre le nouveau coronavirus, dont une vaccination massive de la population.
Créé en 2020, le Fonds de relance économique (FRE) accorde en priorité son aide à des secteurs tels que l’hôtellerie-tourisme, l’industrie, les transports et la logistique, l’agro-transformation, l’éducation et les PME liées aux chaînes logistiques domestiques et internationales.
Selon Ngirente, le secteur manufacturier a été l’un des plus touchés par la pandémie, reculant de 19%, tandis que celui du BTP a cédé 6%.
A l’issue de sa visite au Maroc, Gerd Muller, le Directeur Général de l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel et Loubna Tricha, Directrice Général de l’OFPPT, ont échangé autour de projets de collaboration entre les deux institutions.
Les opportunités de mise en synergie dans des domaines à forte valeur ajoutée, notamment le Verdissement des métiers, l’économie Bleue et la formation professionnelle en milieu rural, ont également été relevées.
D’ailleurs, le rapprochement des deux entités, a permis, grâce au concours de l’USAID, de Volvo et du Secrétariat d’Etat chargé de la formation professionnelle, la création de l’Académie de Conduite de Camions En Sécurité. Son objectif est de contribuer à l’amélioration de la sécurité routière à travers des formations ciblées et adaptées.
En termes de transport et de logistique, les deux institutions ont mis en place l’Académie des Engins Lourds et des Véhicules Commerciaux (AGEVEC), dotée des équipements modernes nécessaires, et dispensant des programmes de formation adéquats qui répondent aux besoins des secteurs industriels. Elle compte à ce jour, un effectif total de 745 bénéficiaires.
De plus, celles-ci collaborent aussi dans le cadre de deux projets phares, dans la région de Béni Mellal-Khénifra, à savoir le projet de H2O MAGHREB pour la création des opportunités d’emplois pour les jeunes de la région, en plus du Projet Régional pour l’Emploi et le Développement Agro-industriel qui a pour objectif de renforcer la productivité et la résilience des unités agro-industrielles implantées dans la région et de réduire le chômage des jeunes en leur fournissant les compétences nécessaires à l’insertion professionnelle dans le secteur agro-industriel.
En outre, un partenariat a également été développé. Il porte sur les industries créatives afin de permettre aux artisans et aux PME d’améliorer leur offre et d’accéder à de nouveaux marchés, tout en favorisant la promotion de la création de nouvelles entreprises.